Le Japon est un archipel volcanique situé entre l’océan Pacifique, la mer du Japon et la mer de Chine orientale, à l’est de la péninsule coréenne à la croisée de plusieurs plaques tectoniques sources de nombreux séismes. L’archipel japonais est composé de quatre îles principales, Honshū, Hokkaidō, Kyūshū, et Shikoku, ainsi que de milliers de petites îles, appartenant notamment à la préfecture d'Okinawa. Hokkaidō, historiquement peuplée par les Aïnus (ou Aïnous), fut incorporée progressivement à l’ère de peuplement japonais, processus qui s’acheva avec l’époque Meiji. Les migrants s’installèrent dans la plaine du Yamato et formèrent plus tard les premiers artisans de la culture japonaise, alors que les peuples originels furent cantonnés au nord de Honshū et sur l’île de Hokkaidō.
Le nom japonais Nippon est utilisé sur les timbres et pour les événements sportifs internationaux, alors que Nihon est utilisé plus fréquemment au Japon même. Nippon réfère aussi à l’empire japonais et à une certaine idéologie. Yamato (大和) est le nom que l'on donne à l'ancienne période de la déesse du Soleil « Amaterasu » (qui selon la mythologie ayant cours avant la capitulation en 1945, aurait créé le Japon). C’est à l’origine le nom de la première structure impériale connue qui exerçait son pouvoir autour de Nara (奈良) aux environs du Ve siècle. Aujourd’hui, on trouve toujours le mot Yamato dans des expressions telles que Yamatodamashii (大和魂, « l’esprit japonais »).
Histoire du Japon.
Le Japon vu par satelliteLa légende prétend que le Japon fut fondé au VIIesiècle av. J.-C. par l’empereur Jimmu. Le système d’écriture chinois et le bouddhisme furent introduits durant les Ve et VIe siècles, initiant une longue période d’influence culturelle chinoise. Les empereurs étaient les dirigeants symboliques, alors que le véritable pouvoir était le plus souvent tenu par les puissants nobles de la Cour, régents ou shogun (général en chef des armées).
À partir du XVIe siècle, des commerçants venus du Portugal, d’Espagne, des Pays-Bas et d’Angleterre débarquèrent au Japon avec des missionnaires chrétiens. Pendant la première partie du XVIIe siècle, le shogunat craignit que ces missionnaires fussent la source de périls analogues à ceux que subirent ses voisins (telles les prémices d’une conquête militaire par les puissances européennes ou un anéantissement total pareil à celui que subit le royaume tibétain de Gugé en 1630 suite à l'accueil bienveillant de missionnaires chrétiens par son roi, accueil provoquant l'invasion du Ladakh par son voisin rival, qui profita de l'agitation engendrée par la colère des autorités bouddhistes contre la menace de la perte de leur monopole religieux et de leur influence); aussi la religion chrétienne fut formellement interdite en 1635 sous peine de mort sous la torture. Puis, en 1639, le Japon cessa toute relation avec l’étranger, à l'exception de certains contacts restreints avec des marchands chinois et hollandais à Nagasaki (長崎), précisément sur l’île de Dejima (出島). Cet isolement volontaire dura jusqu’à ce que les États-Unis, avec le commodore Matthew Perry, forcent le Japon à s’ouvrir à l’Occident par la politique de la canonnière en signant la Convention de Kanagawa en 1854 après son pilonnement.
En seulement quelques années, le renouement des contacts avec l’Occident transforma profondément la société japonaise. Le shogunat fut forcé de démissionner et l’Empereur fut remis au pouvoir. La restauration Meiji de 1868 initia de nombreuses réformes. Le système de type féodal fut officiellement aboli et de nombreuses institutions occidentales furent adaptées. De nouveaux systèmes juridiques et de gouvernement ainsi que d’importantes réformes économiques, sociales et militaires transformèrent le Japon en une puissance régionale. Ces mutations donnèrent naissance à une forte ambition qui se transforma en guerre contre la Chine (1895) et contre la Russie (1905), dans laquelle le Japon gagna la Corée, Taiwan et d’autres territoires.
L’expansionnisme militaire du Japon au début du XXe siècle, qui débuta avec l’annexion de la Corée (1910), se poursuivit avec l’invasion de la Mandchourie et une seconde guerre sino-japonaise avec le premier bombardement aérien à Shanghai d’une ville et de ses civils (à partir de 1937). Le Japon se construisit un empire colonial étendu jusqu’à l’Asie du Sud-Est qui lui permit de se fournir en matières premières. L’attaque sur Pearl Harbor dans l’archipel d’Hawaii en 1941 l’engagea dans la Seconde Guerre mondiale. Le Japon fut finalement vaincu en 1945 après le largage de deux bombes atomiques, une sur Hiroshima (6 août 1945) et une autre sur Nagasaki (9 août 1945). Il se rendit aux États-Unis et ses alliés le 15 août 1945. Le traité de paix avec la Russie est toujours en négociation, en réglement du problème des îles Kouriles du sud, occupées par cette dernière depuis la fin du conflit.
Le Japon dévasté d’après-guerre, confiné à l’archipel, resta sous la tutelle des États-Unis jusqu’en 1951 (traité de San Francisco). Ceux-ci imposèrent une nouvelle constitution plus démocratique et fournirent une aide financière qui encouragea le renouveau du pays.
L’économie se rétablit rapidement et permit le retour de la prospérité sur les îles.
À la fin des années 1980, le Japon connaît une apogée culturelle et pour le moins économique.
Article détaillé : Forces d'autodéfense japonaises.
Actuellement, bien que sa part soit relativement faible dans les finances de l’État, le Japon a le cinquième plus important budget militaire du monde en chiffres absolus, mais l’importance de ce budget ne fait pas pour autant du Japon une grande puissance militaire. La constitution japonaise interdit en effet le maintien d’une armée, le droit de belligérance et le lancement de toute opération militaire en dehors de ses frontières autre que l’autodéfense. Cependant, des « forces d’autodéfense », un corps militaire professionnel disposant de moyens techniques avancés.
Avec la guerre en Irak en 2003, la Constitution a été aménagée pour pouvoir déployer des troupes hors de son territoire dans le cadre d’opérations à caractère non strictement militaire (reconstruction, aide humanitaire…). De la sorte, le Japon espère pouvoir acquérir un rôle diplomatique plus en rapport avec sa puissance économique.
Fêtes et jours fériés Date Nom français Nom local En japonais Remarques
1er janvier Jour de l’An Ganjitsu 元日
2e lundi de janvier Jour de l’accession à la majorité Seijin no Hi 成人の日 déplaçable depuis 2000,
15 janvier auparavant
11 février Anniversaire de la fondation de l’État Kenkoku Kinenbi 建国記念日
20 ou 21 mars Equinoxe de printemps Shunbun no Hi 春分の日 déplaçable selon l’Observatoire
29 avril Fête de Shōwa Shōwa no Hi 昭和の日 l’anniversaire de l’empereur Shōwa (Hirohito)
3 mai Commémoration de la constitution Kenpō Kinenbi 憲法記念日
4 mai Fête de la nature Midori no Hi みどりの日
5 mai Fête des enfants Kodomo no Hi こどもの日
3e lundi de juillet Fête de la mer Umi no Hi 海の日 déplaçable depuis 2003,
20 juillet auparavant,
3e lundi de septembre Fête des personnes âgées Keirō no Hi 敬老の日 déplaçable depuis 2003,
15 septembre auparavant
22 ou 23 septembre Equinoxe d’automne Shūbun no Hi 秋分の日 déplaçable selon l’Observatoire
2e lundi d’octobre Fête des sports Taiiku no Hi 体育の日 déplaçable depuis 2000,
10 octobre auparavant
3 novembre Fête de la culture Bunka no Hi 文化の日
23 novembre Fête du travail Kinrō Kansha no Hi 勤労感謝の日
23 décembre Anniversaire de l’empereur Tennō Tanjōbi 天皇誕生日
Note: lorsque la date d'un jour férié tombe un dimanche, c'est le lendemain qui est férié. Exemple : le 11 février 2007 était un dimanche, le 12 février 2007 a donc été férié.
si il a des personne qui veule donner des info sur le japon , des photos ou vous avez été
des événéménts qui vont se dérouler la bas , en faites tout se que vous voulez sur le japon
le prix d'un séjour au japon ( si il en a qui le save )
( mon rêve s'est d'y aller m'y installer ) y en a peut être d'autre pour lequelle le japon est votre seconde nation
vos confessions m'intéressent allez y écrivait